A contribution to the knowledge of the penetration mechanism of fungal pathogens on nectarine: Monilia laxa (Ascomycete-Discomycete) and Rhizopus stolonifer (Zygomycete-Mucorale)
Contribution a l'etude des voies de penetration de parasites fongiques des nectarines Monilia laxa (Ascomycete-Discomycete) et Rhizopus stolonifer (Zygomycete-Mucorale)
Résumé
Conidies of M. laxa and spores of R. stolonifer were deposited onto the surface of uninjured nectarine fruit and observed under scanning electron microscopy. Conidies of M. laxa vigorously germinated and an important percentage of the contaminated fruits became infected. In some instances, mycelial hyphae obviously penetrated through some cuticular microcracks, although in most cases the fungus did not exhibit any attraction toward these microcracks. Direct penetration of M. laxa through intact cuticle was never observed. Spores of R. stolonifer did not germinate on fruit surface without a nutrient support. The addition of peach juice stimulated growth of the fungus and led to the infection of the fruit. An important breakdown of the epidermis was observed and cuticular microcracks seemed to widen out.
Le comportement de conidies de M. taxa et de spores de R. stolonifer déposés à la surface de nectarine, non blessée, a été suivi en microscopie électronique à balayage. Les conidies de M. laxa germent abondamment à la surface des nectarines et une forte proportion des fruits contaminés sont infectés. Parfois des «figures de pénétration» d’hyphes mycéliens par des «microfissures cuticulaires» sont observées, bien que la plupart de ces microfissures ne semblent exercer aucune attraction vis-à-vis du mycélium de M. laxa. Aucune pénétration directe du champignon à travers la cuticule n’a été observée. Les spores de R. stolonifer ne peuvent germer à la surface des nectarines en l’absence de substrat nutritif. L’addition de jus de pêche dans l’inoculum permet un important développement du champignon, associé à l’infection du fruit. Une altération de l’épiderme du fruit est observée, en particulier les «microfissures cuticulaires» semblent s’élargir sous l’action du parasite.
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Sciences agricoles
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