Predictive models for heartwood and bark proportions for larch
Modèles de prévision des proportions de duramen et d'écorce chez le mélèze
Résumé
Predictive models for heartwood and bark proportions have been developed for Japanese larch (Larix kaempferi (Lambert) Carr.) planted in South of Belgium. These models have been tested to evaluate the way of applying them to European larch (Larix decidua Miller) and hybrid larch (Larix eurolepis Hemy) growing in west-European lowlands. For the heartwood proportion, independent variables selected are stand age and dbh. The model set up for Japanese larch has a R-square of 0.859. In average, European larch has lower heartwood proportion. With reference to bark proportion, selected independent variable is dbh. Residual variability is far more important for bark models (R-square of 0.456). European larch has, in average, higher bark proportion whereas hybrid larch has lower. An example of the application of these models in connection with a growth model is presented. It consists in an evaluation of the impact of dynamic silviculture on heartwood and bark proportion.
Les modèles de prévisions des proportions de duramen et d'écorce ont été développés pour le mélèze du Japon (Larix kaempferi (Lambert) Carr.) planté dans le Sud de la Belgique. Ces modèles ont été testés pour évaluer la manière de les utiliser sur mélèze d'Europe (Larix decidua Miller) et mélèze hybride (Larix eurolepis Hemy) poussant dans les plaines d'Europe occidentale. Pour la proportion de duramen, les variables indépendantes sélectionnées sont l'âge de la plantation et le dbh. Le modèle établi pour le mélèze du Japon a un R2 de 0.859. En moyenne, les mélèzes européens ont une proportion de duramen plus faible. En ce qui concerne la proportion d'écorce, la variable indépendante retenue est le dbh. La variabilité résiduelle est bien plus importante pour les modèles d'écorce (R2 = 0.456). Le mélèze d'Europe a, en moyenne, une proportion d'écorce plus importante alors que celle des hybrides est plus faible. Un exemple de l'application de ces modèles en liaison avec un modèle de croissance est présenté. Il consiste en une évaluation de l'impact d'une sylviculture dynamique sur les proportions de duramen et d'écorce.